au Trophée Lalique 2002


En novenbre 2000, je suis allée au Trophée Lalique voir mes chers Marina ANISSINA et Gwendal PEIZERAT. Pour moi, c'était la première fois que j'assistais à une compétitions à l'etranger. Une amie m'a dit "Il y a un beau couple. Je les ai vus en Allemagne la semaine dernière" et je les ai aussi retrouvés au Trophée Lalique. Le couple habillé en blanc était beau comme une princesse et un prince dans un conte de fée. Ils m' ont rappelé Gordeeva et Grinkov. Eux, s'était Sabrina et Jérôme."L'impression qu'ils donnent est magnifique!" ils m' ont impressionné.
En atteignant la cinquieme place du championnat d'Europe et la quatorzième place du championnat du monde, ils ont terminé cette saison avec d' excellents résultats pour des débutants.

En automne de l'année suivante, en me préparant encore à partir pour Paris afin de regarder le Trophée Lalique, j'ai remarqué une chose bizarre.Sabrina et Jérôme étaient engagés au Skate Canada et au Trophée Lalique, mais il n' y avait plus leurs noms sur les listes de participants. "Pourquoi? Qu'est -ce qui se passe?" Je m' en inquiétais. Et un peu plus tard, j'ai su que Sabrina s'etait blessée à la jambe, et que c'était grave. C'est pourquoi, ils ne pouvaient pas participer aux compétitions.
Pourtant, lorsque je suis arrivée à la patinoire à Paris, Jérôme était là sans Sabrina. Probablement il était là pour aider des gens dans les coulisses de la compétition. "Je viens du Japon. C'est dommage de ne pas pouvoir vous voir dans cette compétition. Et je suis inquiète pour Sabrina" lui ai-je dit puis je lui ai confié un cadeau pour Sabrina qui allait bientôt avoir vingt et un ans.Il a eu l'air très content, son visage souriant était angélique!

Cinq mois plus tard, au mois d'avril 2002, je suis allée aux Masters Miko qui serait sans doute la dernière occasion de voir Marina et Gwendal. À ce moment-la, Jérôme est tout à coup apparu devant moi. J'ai été très étonnée de sa présence car je n'avais pas du tout pensé qu'il serait là. Ces retrouvailles nous ont réjouis. Tout de suite, je lui ai demandé si Sabrina allait mieux. li m'a dit ; "Elle ne peut plus patiner car elle s'est gravement blessée à la jambe. Je m'entraîne déjà avec une autre partenaire. Elle est russe et ressemble à Berezhnaia" C'était une situation prévisible, mais cette mauvaise nouvelle m'a fait un grand choc et ça m'a rendue très triste.

À la fin de juin, j'ai reçu une lettre de Jérôme. Il était écrit une surprise; "Je recommance à patiner avec Sabrina"
J'ai lu cette phrase en pleurant à plusieurs reprises. Depuis, ils me sont chers. Je ne les aimerais pas tant s' ils n'avaient pas eu autant d'ennuis. C'est quand j'ai appris leurs déboires, que je me suis aperçue de mon amour pour eux.

-octobre 2002-